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lundi 30 septembre 2013

Voiture électrique




L’intérêt pour des voitures électriques a atteint son comble vers 2010, puis il s’est très vite étouffé. La combinaison d’un prix élevé et de la mauvaise autonomie n’est seulement pas attrayant.

Les premières voitures électriques étaient petites ou même très petites. Le premier sur la scène a été la Mitsubishi i-MIEV, (et ces sœurs Peugeot Ion et Citroën C-Zéro), puis la Nissan Leaf. La Renault Zoe a récemment entré sur le marché et elle est maintenant la voiture électrique la plus vendue en Europe.

Mais, aucun d'eux n'a eu l'énorme succès dont beaucoup pensaient évidente. L'erreur semble être commerciale. Les constructeurs ont simplement ciblé le faut bout de la marché.

Un fabricant qui a fait le contraire est Tesla, qui ne fabrique que des véhicules électriques de luxe. La première d’être vendu a été un petit roadster avec un prix d’environ 100 milles euros. Le modèle actuellement fabriqué, Model S, coûte autour de 80 milles euros.

On peut supposer que l’acheteur typique d'une Tesla est une personne fortunée qui a plus de 1 voiture dans le garage. Mais, qui à la fois est attiré par la technologie et l'image de quelqu’un qui se souci pour des problèmes environnementales que cela lui donne.

En effet, les ventes de Tesla en Californie ont maintenant dépassé d’autres marques de lux telles que Porsche, Land Rover, Volvo et Jaguar.

La plupart des constructeurs d’automobiles établis se sont concentrés sur ​​des modèles de volume. Il est surprenant qu’ils n’aient pas commencé dans le secteur haut gamme. Une technologie nouvelle et coûteuse n’a jamais été introduite dans le secteur de volume n’import le type, téléphones portables ou voitures.

Il y a trois ans, le prix des batteries était entre 600 et 700 euros par kWh, maintenant il n’est qu’à 200 euros. Cela signifie que les premières petites voitures électriques ont été vendues avec des piles les plus chères.

Cependant, chez Tesla ils se réjouissent d’avoir trouvé la bonne stratégie économique. Ils sont maintenant en train de concevoir des modèles moins chers.

dimanche 29 septembre 2013

Ctrl-Alt-Del, une erreur !



La commande « Ctrl-Alt-Del » pour redémarrer nos ordinateurs est une erreur, a expliqué le fondateur de Microsoft Bill Gates dans une interview.

Nous avons voulu une touche unique pour cette fonction. Mais, le gars qui faisait le design du clavier d'IBM n'a pas voulu en mettre. Par conséquence nous avons été forcé de le programmé sur un niveau assez fondamental. Cela a été une erreur, a déclaré Bill Gates lors d'une interview sur scène à Harvard.

« Le gars » est David Bradley. Il avait d'abord pensé à la combinaison « Ctrl-Alt-Esc » mais parce qu’elle est possible de composer avec une main il s'est rendu compte que cela risquerait des arrêts involontaires. Il a donc laissé le Del remplacer l’Esc.

L’idée initiale était de gagner du temps pour les informaticiens qui dans leur développement de logiciels suivant se trouvaient en face de logiciels complètement bloqués. Cependant, à l’époque les logiciels étaient stockés sur des disques et les PR consultants ont trouvé que la commande était utile pour démarrer un nouveau logiciel. C’est pourquoi « Insérez le disc et composez Ctrl-Alt-Del » a infiltré la live d’instruction.  

J'ai certainement inventé le « Ctrl-Alt-Del » mais Bill a fait sa renommée, a déclaré David Bradley dans une table ronde en 2011. 

 

samedi 28 septembre 2013

Est-ce que nous entendons mieux que voyons ?



Pour économiser énergie nous sommes incité de changer nous anciennes ampoules incandescence à des fluorescente ou des LEDs. Pour les appareille de la cuisine c’est pareille. Le symbole « A » sur la flèche verte nous incite à choisir un équipement moins gourmand en énergie qui aussi rende la facture d’électricité un peu moins lourd.

Il n’y a rein de tout cela pour les postes de radio car ils ne consomment pas grand-chose. Le calcule est simple, avec quelques Watts nous pouvons remplir tout une pièce se sons mais pour l’éclaircir il nous faut 100 – 200 Watts. Pourquoi cette différence ? Il se peut que nous organes sensoriels, les oreilles et les yeux, aient une différence de sensibilité énergétique important. Mes obscures impulsions de calculer m’ont poussé de les mettre en chiffres.        

L’intensité du son est mesurée en Décibel, db :

Il a été conçu avec logarithmes pour rendre les chiffres compréhensibles.

 Niveaux sonores  

Les plus faibles sons que nous pouvons saisir sont sur le niveau 0 db. La pression correspondant est de 2x10-5 Pa. C’est une pression qui est un peu difficile à comparer avec l’intensité de la lumière. Il vaut mieux l’exprimer comme intensité acoustique. Elle est la puissance transportée par les ondes sonores par unité de surface perpendiculairement à la direction. L’unité est W/m2. Voici l’équation :


Donné la pression minimalement audible, l’intensité est de I=1x10-12 W/m2.

Comparons maintenant avec l’intensité de la lumière. Une ampoule de 60 W émet approximativement 10% en lumière, 6 W. Vu sur une distance de R mètres cette puissance est rependue sur une sphère avec la surface 4xπxR2. Si on pourrait l’apercevoir l’ampoule avec la même intensité que le plus faible son audible, un simple calcule donne la distance à 690 km !

C’est naturellement impossible. Peut-être que 1 km serait plus réaliste qui donne l’intensité de 5x10-7 W/m2. Les oreilles seraient donc approximativement 500 mille fois plus sensibles que les yeux ! Un résultat exceptionnellement étonnant.             

vendredi 27 septembre 2013

L’énergie de vagues



Ça bouge. Des nouveaux principes pour extrader l’énergie des vagues apparaissent régulièrement. Le domaine est en plein expansion mais aujourd’hui il n’y a pas encore une conception gagnante. Certaines ont été sur le marché très tôt, dont le serpent de la mer, Pelamis, qui déjà produise d’électricité sur les côtes écossaises et portugaises.  


Un autre acteur est Seabased. Leur principe est totalement différent.


Puis il y a ceux qui ont été moins pressé qui les a donnés l’avantage d’apprendre par des erreurs fait, dont CorPower. Le problème jusqu’a lors a été le rendement. Chez les conceptions existantes il est à peine 10% à comparer avec des éoliennes qui sont à 30 – 35%.

Le mouvement du flotteur est un facteur d’haute importance. Pour assurer une puissance maximal il faut trouver un système d’où il est tant submergés que possible dans les sommets des vagues et tant flottant que possible dans les vallées. Cela nécessite un bon contrôle des forces verticales.

L’innovateur du système employé par CorPower est médecin. Il s’est laissé inspirer par le cœur humain même si il ne s’agit pas d’un bio-imitation. Le fonctionnement est hydraulique. Leurs pages d’accueilles n’explique malheureusement pas les détailles. Cependant, selon mon notion, il s’agit d’une combinaison d’un réservoir qui accumule l’huile hydraulique sous haut pression et un moteur hydraulique à torque variable. Ces deux façons de réglage rend possible pour le générateur de tourner à un rythme continu et de donner le flotteur des conditions optimal. CorPower se vante de pouvoir produire 5 fois plus d’énergie par tonnes à un prix 3 fois inferieures aux systèmes existantes.

Un petit prototype a déjà été testé avec des bons résultats dans une cuve à houle de l'Université de Porto au Portugal. Au cours de 2014 et 2015, un prototype de l'échelle 1 à 2 sera testé dans la mer.

Apparemment il y a des intéressés car leurs poches sont bien remplies, 13 million d’euro.          

jeudi 26 septembre 2013

Ils savent faire de la magie


La guerre de 30 ans, 1618 – 1648, s’est déroulé en ce aujourd’hui est Allemande, Autrice et République tchèque.

L’origine peut être attribuée à des bouleversements religieux et politique en Europe suivant la naissance de protestantisme. La contre-réformation catholique a suscité des attaques militaires qui bientôt ont éclaté à une guerre sanglante. Une autre dimension est la multitude de conflits d'intérêts qui existaient en Allemagne d’époque.

L’image montre la situation après la guerre qui rende évidant que aucune solution de ce problème avait été trouvé.

Les suédois qui possédaient des petites enclaves sur la côte nord de l’Allemagne sont intervenus en 1628. Cependant, l’idée de nationalité de l’époque n’a rien à faire avec celle d’aujourd’hui. Ceux qui rencognaient le roi suédois comme son souverain étaient simplement considéré comme suédois. L’armé était un mélange de gens d’une multitude d’origines, dont beaucoup de finnois et une bonne proportion de légionnaires qui servaient sur la côté qui payait mieux.

Dr. Johann Heinrich von Pflummer, un éminent avocat catholique de la Souabe qui a tenu des postes administratifs importantes écrivait aussi un journal personnel. Il comprend entre autre un témoignage d’un prêtre catholique sur des événements survenus entre 1633 et 1643. Le prêtre avait été capturé par les troupes suédoises suit d’un attaque dans un brouillard. À son grand surpris il s'est rendu compte que plusieurs des soldats qui lui gardaient étaient des catholiques et qu’ils savaient raconter des choses terribles au sujet de leurs camarades finnois.    

Un des officiers relatait que le brouillard, qui a rendu possible pour les soldats de se approcher inaperçu, avait été crée par des magiciens finnois. Pour le prouver il a organisé une manifestation. Un soldat finnois prononçait quelques mots incompréhensibles, étendait ces bras et secouait ces mains. Une substance ressemblant à cendre sortait et tout d’un coup ils étaient tous émergé dans un brouillard qui dans peu de temps a rendu les environs invisibles.

Étant une personne érudit von Pflummer a conclut qu'il certainement existait de magiciens dans l'armée suédoise et que leurs succès sur les champs de batailles avec toute probabilité étaient due à l’avantage de leurs arts du diable que d’autres facteurs.

mercredi 25 septembre 2013

L’économique

Selon le philosophe Michel Serres nous avons historiquement passé les phases tout religion et tout guerre et nous vivons actuellement dans l’époque tout économique. Par conséquence nous parlons aussi un lange un peu spécial, l’économique.

La particularité de cette langue est que les mots sont contagieux. Tout d’un coup on est infecté et de la bouche sort : challenge, à long terme, durable, client, structurel, sous-jacent et tant d’autres termes de définitions flous. Ils sont tous de mots légitimes mais si usés par les économistes qu’ils sont purgé de sens.

Tout n’est pas rose dans le monde économique. Il y des crises qui sont graves et c’est grâce à la dynamique de la langue économique qu’ils ont tant de noms : subprimes, crise financière, crise de la dette, crise de l'euro……….

L’infection est répandu et tout le monde parle économique. Il est sympa de voir un jeune couple qui investit dans leur relation. Des parentes font des émissions et puis ils investissent dans leurs enfants. La langue économique est un moyen de se donner l’allure d’être dédié, moderne, « on the edge » que disent les anglais. La règle du jeu est d'avoir le maximum de rendement possible des paroles.

Si on veut être sur le top il vaut mieux se doté avec quelques mot d’allure scientifiques. Très à la mode aujourd’hui est de critiquer ses adversaires avec des mots tels que herméneutique, qui signifie quelqu’un qui tâtonne dans l'obscurité ou réponse ad hoc qui veut dire n’importe quoi. Impressionnent !

Tout cela peut apparaitre ridicule ou amusante mais il y a aussi un côté très sérieuse. J’ai quitté mon dernière poste quand mes collègues, réellement avec formulaires et tout, sont devenus mes clients. 

mardi 24 septembre 2013

Plaques numériques pour bientôt ?



Une loi en Californie a ouvert la possibilité de tester des plaques d'immatriculation électroniques.

Cette technologie rend possible de montrer des informations telles que la période de validité et la taxe payé sur l’écran. Ces informations sont qui actuellement fournies par autocollants sur la plaque d'immatriculation et seulement le coût postale annuel pour l’envoie de ces billets est d’environ 20 millions de dollars. Des plaques électroniques peuvent être mises à jour automatiquement et presque gratuite via le réseau de téléphone mobile. L’économie potentielle et la raison principale pour l’intérêt de cette nouvelle technologie.

Elle rendra aussi possible de d'afficher des messages telles que « Non-assurés » ou « Sans contrôle technique » qui considérablement facilitera pour la police de détecter des délinquants et supprimer des véhicules dangereux. Si la voiture a été volé le texte peut aussi en distance être changé à « Volé ».


De laisser les panneaux montrer de la publicité lorsque le véhicule est à l'arrêt a aussi été discuté.

Le tout peut apparaitre comme un fantasme mais la loi est sérieuse et propose un programme pilote avec environs 160 000 véhicules qui sera achevée au plus tard en Janvier 2017.

Une des nombreuses sociétés qui ont présenté des techniques pour panneaux électroniques est Compliance Innovations. Leurs plaques d'immatriculation sont basées sur la technologie d’encre numérique qui seulement a besoin d’une alimentation électrique pour modifier le texte. Elle est à son tour fournie par une batterie et un petit panneau solaire qui rend les plaques auto-suffisant en électricité.

La solution peut apparaitre chère mais le petit composant qui s’occupe de la radiocommunication ne coûte presque rien. Les composants les plus coûteux dans ce système sont probablement l’écran, la batterie et le panneau solaire. Le système ne devrait pas être plus cher qu’un simple téléphone portable.

lundi 23 septembre 2013

Empreinte digitale

La grande nouveauté de la nouvelle iPhone est un lecteur d'empreintes digitales.  Une question beaucoup discuté est si le marché de masse maintenant est prêt à accepter cette technologie qui sous le radar a maturé pendent un dizaines d’années.  

Un concours de hacking sur le site IsTouchIDhackedyet.com est déjà apparu. Celui qui réussi à contourner la protection d’empreinte est promise une récompense important, actuellement plus de 10 000 euros payé en Bitcoin, la monnaie numérique.

D’essayer à remplacer le doigt avec une image ne fonctionnera pas. Car, le capteur n’est pas optique mais basé sur une technologie qui enregistre une image des capacités électriques sous la peau.

Si un arnaque avec un moulage est possible n’est pas claire. L’entreprise suédoise Suédoise Fingerprint Cards, qui vende des capteurs similaires, a une fonction qui détecte les battements du cœur dans le doigt. Même un doigt coupé ne fonctionnera pas dans ce cas.

Une autre option pour hackers est d’essayer de contourner la protection en attaquant le logiciel. Même si tout a été fait pour le rendre impossible il est bien connu que des trous de sécurité apparaissent ici et là.

Il n’est donc pas possible d’exclure une vole d’une empreinte. Apple souligne qu’elle dans aucune cas est stockée sur les serveurs d'Apple ou dans le nuage. L'empreinte est convertie à une matrice de chiffres qui ne sont pas stockées dans la mémoire ordinaire du portable mais dans une puce spécialement sécurisé. Lorsqu’un portable est déverrouillé, le capteur compare l'empreinte actuelle avec celle enregistré et s’ils correspondent le téléphone se met en marche.

Au départ, l’empreinte ne sert qu’à déverrouiller le téléphone et de confirmer l'achat d'applications. Auparavant cela nécessitait un mot de passe. L’empreinte n’est pas envoyée à Apple. Si bon, elle excite seulement le signal approuvé.  

Le capteur remplace simplement le code à quatre chiffres mais ce mode d’opération est toujours possible et évidemment nécessaire pour le premier enregistrement. Si le portable n’a pas été utilisé pendant plus de 48 heures il faut répéter la procédure. Cela pour éviter de donner un voleur trop de temps pour passer les moyennes de sécurité. 

Apple a choisi un capteur capable de lire l’empreinte d’un doigt placé dans n'importe quelle direction. Ceux qui déjà l’ont essayé témoignent que la procédure d’enregistrement est très rapide.

La technologie d’identification d’empreinte a plus de 15 ans. Le développement a entre autre été retardé par le fait que la fabrication des minuscules détectrices dont un capteur est composé a été très chère. Pour économiser on les plaçait autrefois en un seul rai. L’utilisateur devrait par conséquence glisse son doigt dans la bonne direction. Dans les capteurs modernes les détectrices sont arrangées dans une grille, qui les rend moins compliqués d’utiliser.

dimanche 22 septembre 2013

Les soldats pleurent robots de guerre



Beaucoup de soldats ont une relation affective avec leurs robots de guerre. Il n'est pas rare qu’ils les donnent des noms et quand ils ne fonctionnent plus font des sépultures.

Julie Carpenter, un PH. D. en éducation à l'Université de Washington est enquête, écrit PBS NEWSHOUR. Elle a interviewé 23 personnels de neutralisation d’explosifs qui régulièrement utilisent des robots dans leur travaille. Une conclusion est que les soldats suivant anthropomorphisent leurs robots en les assignant des attributs humains tels que genres et noms et qu’ils même font preuve d'une sorte d'empathie à l'égard des machines.

Beaucoup de soldats expliquaient qu’ils ont été émotionnellement touchés quand leur robot tombe en panne. Ils pouvaient par exemple « se sentir désolé pour le petit gars » et il est même arrivé qu’ils aient organisé des enterrements.

Plusieurs ex-soldats discutent le phénomène sur le site Reddit. Un participant relève qu’un de ses collègues avait honoré son robot avec un prix et que ses collègues ont tiré une salve dans l’air lors de l’enterrement.

Voila, certains personnes ont des sentiments pour un outil et pour moi c’est normal. Mal saint ? Comme toujours, s’ils prennent des expressions qui dégradent la vie courant, il vaut mieux réfléchir.

samedi 21 septembre 2013

La gravitation



La constante gravitationnelle G [N(m/kg)2], à ne pas confondre avec g [m/s2] qui est la gravitation sur la terre, est une des constantes physiques fondamentale. C’est le G qui rend possible de calculer la force gravitationnelle entre deux masses.

Des nouvelles études montrent maintenant que cette constante est d'environ 0,02% plus haut qu'on ne le pensait auparavant, écrit Science News.

La différence a peu d’importance pour le monde telle que nous le connaissons, ni pour les calcule des orbites de satellites. Mais, les physiciens veulent qu’une constante soit une constante. De plus, c’est un grand challenge de le mesurer, le mont Everest des mesures de précision.

Cavendish est aujourd’hui connu comme un whisky mais en 1798 le physicien Henry Cavendish a été´le premier à mesurer la constant gravitationnelle.


La vidéo montre le principe utilisé. Les grandes et petites sphères s’attirent mutuellement et torde le file dont les petites sphères son suspendu. À travers un miroir qui reflétait la lumière d’une bougie il pouvait mesurer la torsion minime dans la file. Le G si mesuré ne dévié que de 1% de la valeur connu aujourd’hui, une prestation plus qu’admirable.

 
La difficulté de mesurer le G est dû à la faible force d’attraction. Presque tout peut perturber l’équipement, de la radiation thermique des spectateurs aux petites vibrations du bâtiment. L’appareil moderne ressemble ce de Cavendish de la façon qu’il a des masses de 2 différentes tailles. 

Tous ces effets troublant doivent être examinés et pris en compte qui fait que la procédure est lente. La conception de l’appareille actuelle a débuté déjà en 2002 et la nouvelle valeur de G est le résultat de calculs qui ont débuté en 2008.

vendredi 20 septembre 2013

Future simple



Dans plusieurs langues, aussi le français, il existe des formes transitoires entre le présent et le future qui sont un peu compliqués. Un économiste a lancé l’idée que cela peut influencer notre vouloir d’épargner. Je n’en crois pas mais elle m’a incité de m’approfondir dans le sujet.

Voici une explication du site Bonjour de France :
Le présent accompagné d'une indication de temps peut exprimer un fait qui se réalisera prochainement :
« J'ai rendez-vous ce soir avec mes amis. »
« J’arrive dans cinq minutes ! » 
« Le film commence à 18h10. »

Pourtant, une expression telle que Je pars dans deux semaines est courant mais Je pars dans deux ans est un peu étrange. En glissant sur la définition « fait proche » on pourrait penser que la règle présenté est bonne mais cela n’est pas le cas.

La chose se complique. Il pleut demain est un phrase ambigu. Mais, S’il pleut demain, je reste à la maison est correct.

C’est dans cet article de Wikipedia que j’ai trouvé la bonne règle. Le présent dans une phrase sur un fait à venir indique une haute probabilité.

On ne peut pas être absolument sur qu’il va pleuvoir demain parce que le phénomène est hasardeux. Mais, que je reste à la maison s’il pleut est probable parce que c’est une décision prise.

Idem pour les exemples avec le verbe partir. Je peux être sur que je pars dans deux semaine parce que j’ai un billet. Mais, des billets avec un retour dans deux ans ne se vendent pas.

La règle est heureusement exactement la même en suédois mais pour un anglais qui forcement doit dire It will rein tomorrow je doute que la future simple français vraiment est simple.              

jeudi 19 septembre 2013

Le navire qui voile avec la coque




Je n’arrête pas de m’étonner à quel hauteur il est possible de charger des navires qui transportent conteneurs sans perte de stabilité. Le sujet est enseigné dans la mécanique et le critère est simple : L’axis de rotation créé quand un bateau en l’eau penche latéralement doit être au-dessous le centre de gravité. Si ce dernier et au-dessus la surface d’eau ou non n’a pas d’importance.

Grace à la possibilité d’utiliser de hautes coques, un inventeur norvégien a maintenant testé un modèle qui utilise la coque comme voile. Selon ces calcules un telle navire pourrait réduire la consommation de carburant de 60%.

L’inventeur Terje Lade a jusqu'ici conçu une maquette qu’il a laissé testé dans une soufflerie à l'université britannique de Cranfield. Dans une interview le professeur Kevin Knowles, qui dirige le groupe de systèmes aéromécanique, dit qu’il initialement pensait avoir faire avec un norvégien un peut singulier. « Cependant, quand nous avions réfléchi et calculé un peu plus nous nous somme rendu compté que l’idée est assez astuce ».

Les tests montrent que le navire avec un vent autour de 50 km/h et cap optimal avancerait avec 14 nœuds c’est-à-dire 29 km/h. Sur un itinéraire approprié l’économie globale serrait 60% de carburant.
  
Sur ce site il y a une vidéo en norvégien.    

mercredi 18 septembre 2013

Économie d’énergie



L’union européenne a finalement pu s’unir sur une feuille de routes pour les émissions CO2 des voitures. Il est naturellement un compromis mais mieux que ne rien. À partir de 2020, l’émission permis sera maximum 95 grammes de CO2 par kilomètre.

Les fabricantes qui auparavant avaient pour habitude de présenter des modèles toujours plus puissantes et donc gourmands en énergie, doivent s’adapter. Les chemins possibles sont nombreux : Hybrides, matériaux de construction plus léger, moteurs plus efficace, propulsion électrique et cetera.

Les institues de recherche sont aussi engagés. Chez ETH Zurich ils ont maintenant réussi à modifier un moteur diesel et le rendre 2 fois plus efficace que les conventionnels. Pour une voiture de taille moyenne cela correspond à une consommation de moins de 2,4 litre aux 100 km. Leur moteur, un hybride gaz naturel-diesel, est basé sur des composants déjà existants.  

Pour le même contenu d’énergie le gaz naturel émit déjà 25% moins de CO2 que le gazole. Un problème avec n’importe quel combustible est de le faire bruler vite. Le plus qu’il brule quand les pistons sont sur leurs retours vers le bas le plus élevé sont les pertes. Dans un moteur d’essence la flamme est allumée par une bougie. Ce qui se produise peut apparaitre comme une explosion mais la flamme n’avance qu’avec une vitesse assez lente, autour de 35 cm/s.

Dans un diesel le carburant est injecté quand les pistons sont dans leurs positions hautes. La flamme est allumée par la haute température provoquée par la compression. Si la dispersion du gazole, en forme de toutes petites gouttes est homogène la combustion se fait très vite. Pourtant, l’air autour de chaque goutte s’appauvrit d’oxygène et tout n’est pas brulé. Les restes sortent comme des particules carbonisées. Le diesel a aussi un avantage thermodynamique a cause de la haute compression. Ces facteurs font qu’un moteur diesel approximativement est 30% plus efficace qu’un moteur d’essence.

Les chercheurs ont pris un pas de plus pour rendre le moteur diesel plus économique. Pareille comme dans un moteur d’essence le cylindre est rempli d’un mélange du carburant, dans ce cas gaz naturelle, et l’air. Après la compression il est allumé avec une toute petite injection de diesel. L’avantage avec le gaz est qu’il brule à 100%. Dans cette manière ils ont réalisé un rendement maximal de 39,6 %.

Évidemment tout cela ne se fait pas sans algorithmes avancés et contrôles électroniques sophistiqués, d’où les capteurs qui mesurent la pression dans les cylindres jouent un rôle clé.

Si nos voitures dans un proche avenir seront propulsés par ce moteur est difficile à prédiquer. Cependant, on s’étonne qu’un principe qui a été inventé il y a plus de 100 ans, encore ait des marges d’améliorations.  

mardi 17 septembre 2013

Biculturelle et langues

Un signal qui rappelle un locuteur d’une langue secondaire de sa culture d’origine peut le perturber, même s'il la parle couramment. C’est le résultat d’une étude américaine publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.

L'équipe de recherche a étudié comment les immigrants chinois parlent anglais dans des situations divers. Les participaient sont appelés biculturelles. Ils se sont adaptés aux traditions américaines à l'école ou au travail où ils parlent anglais couramment. Mais, à la maison ils s’expriment en chinois et pratique beaucoup de leurs traditions. Ils changent par conséquence contexte culturelle tous les jours.

Bien que ces d’identités apparaissent dans des situations différentes, ils ce peu que la situation parfois ne correspond pas à la langue parlé qui perturbe leurs expressions anglais. Un exemple est une personne d’origine chinois qui, circonstances données, doit parler anglais devant d’autres de la même origine. Dans cette situation la probabilité qu’elle fait des fautes et plus élevé que si les ausculteurs avaient été américains. Le même effet apparait aussi s’il y a des images en arrière-plan. Si par exemple une photo montre la Statue de la Liberté, l’anglais est impeccable mais si de la Grande Muraille ou des statues de Bouddha l’anglais se perturbe.
 
Dans un autre test, un groupe devraient regarder et décrire des objets avec des liens culturels de la Chine. L’autre groupe était seulement demandé de les décrire. Ceux qui regardaient les photos choisissaient plus de donner des descriptions traduit mot par mot de chinois que les autres.

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Je ne suis pas biculturelle mais j’utilise quotidiennement 3 langues. Normalement il n’y a pas des problèmes, la situation suscite le bon choix. Des choses qui touchent à mon métier sont par exemple mieux traités en anglais. Mais parfois quand je pense profondément dans une langue et quelqu’un m’adresse dans une autre, le commutateur fonctionne moins bien. Dans ces cas il m’arrive d’avoir le première mot de mon réponse en la langue de mes pensés dans la bouche.     

lundi 16 septembre 2013

Des sons à voix d’extension


L’effet sonore d’un appareil photo est mort. Je le pleure. Le crépitement d’une vw coccinelle ne s’entende plus. Les voitures ne s’identifient pas par leurs traces sonores. Je coupe le radio et prêts mon oreille à mon moteur de 2 cylindres avec turbo. Il est à peine audible, difficile de savoir s’il va bien.  

Il y a plus sur la liste de sons à déplorer : Machine à écrire, calculatrices mécaniques, le grincement de crayon contre le tableau noir, le crépitement d'un disque vinyle………. Que les 50 périodes par second qui autrefois sortaient des lampes fluorescentes n’est peut-être pas à déplorer, mais elles se taisent. Le monde est en plein transformation sonore et la nostalgie s’installe.

Le cassier met un jeton sur mon plateau de nourriture. Il est pour le café. Comment l’utiliser ? Où est la fente ? Inséré et tombé ! Mais le suit n’est qu’un bruit étouffé car les ventres des machines moderne sont en plastique. L'exclamation joyeuse « le jeton vient de tomber », pour tout d’un coup avoir compris, devient obsolète.

Et, maintenant nous allons tous bientôt payer avec des portables identifiés par nos empreintes digitales. Le son d’un jeton qui tombe est à la voix d’extension.    

dimanche 15 septembre 2013

Le son d’espace




« Je n'étais qu’une fille sortie de l'école avec un diplômé, alors que je me suis retrouvé membre de l'équipe d'imagerie qui me relèvera le plus grand voyage de l'exploration scientifique que l'humanité n’a jamais entrepris. Il a été une expérience déterminante de ma jeune carrière.

Ces premiers souvenirs d'émerveillement, les yeux écarquillés, à être parmi les premiers humains de jamais avoir vu de manière très détaillée les systèmes planétaires de Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Le sentiment, le privilège et la fierté d'être un participant à un entreprise historique du sens profond, ne m'ont jamais quitté. »

Les mots sont de Dr Carolyn Porco un des plus grands scientifiques planétaires du monde qui faisait partie de l'équipe d'imagerie de Voyager 1.

Voyager 1 a été lancé par le NASA, il ya 36 ans. L’événement a eu lieu en Septembre 1977. Maintenant, en Septembre 2013 Nasa estime qu'il a voyagé si loin qu'il est hors de notre système solaire. Il a donc franchi la bulle autour du soleil et maintenant il se trouve entre les étoiles dans l'espace interstellaire.

Le temps exact du passage n’est pas connu mais le 20 Avril des ondes cosmiques à partir d'une éruption solaire qui a eu lieu environ un an plus tôt, en Mars 2012 ont atteint Voyager 1.

C’est la détection de ces ondes qui a confirmé la position extrasolaire. NASA a maintenant réussi d’analyser les signaux et calculé la densité du plasma.

samedi 14 septembre 2013

Le démarrage d’un ordinateur


Dans l’enfance des voitures on avait besoin d’une manivelle pour démarrer. Et, ne parlons pas du starter, ce petit levier qu’on n’arrivait jamais à tirer dans la bonne position, sur tout en hiver.

 
Même si très moderne, un ordinateur prend aussi son temps à démarrer. Voici pourquoi.

Dans la première phase un ordinateur lance un logiciel appelé : Basic Input/Output System, (BIOS). Il détecte les hardwares disponibles ainsi que d'effectuer des auto-tests pour s'assurer que tout est correctement installé avant de laisser le contrôle à le système d'exploitation, (Operating System, OS).

À son tour l’OS a également beaucoup de tests à effectuer pour être en mesure de gérer tous les facilités installés. Certains de ces tests sont assez lents mais nécessaire pour vérifier la compatibilité.

Un ordinateur a aussi souvent plusieurs logiciels qui démarrent au même temps que l'ordinateur. Un OS moderne tel que Linux est normalement plus rapide parce qu’il est plus modulaire, ce qui permet de personnaliser le processus de démarrage.   

Une tablette démarre plus vite parce que le fabricant connait tous les logiciels et tout hardware présent. Non plus y a-t-il besoin de vérifier certaines normes obsolètes.

Les ordinateurs ont besoin d’un mémoire étendue. Dans la future il sera surement réalisé par des composants discrets mais à actuellement les disques durs ont plus de capacité. Bien qu'ils puissent avoir une lecture séquentielle relativement rapide ils sont lentes pour le traitement de petites informations stocké ici et là. Les téléphones et les tablettes ont des mémoires flash, qui parce qu’ils manquent des composants mécaniques, sont un facteur 10 plus rapide que les disques durs.

vendredi 13 septembre 2013

Future, présent et tirelire



La phrase « Je pars demain » est un peu problématique parce qu’elle utilise un verbe en présent pour un événement dans le futur. Selon ce site le présent accompagné d'une indication de temps peut exprimer un fait qui se réalisera prochainement. Mais, « Je pars dans deux mois » est en expression facilement trouvable sur internet et deux mois n’indicent pas un fait proche. Command nous exprimons la future semble compliquée.

Ce fait a inspiré Keith Chen, économiste à l'Université de Yale, de formuler une hypothèse sur la relation entre la structure de la langue parlé et le comportement économique. En tant que bilingue, (mandarin et anglais), il a beaucoup réfléchi sur la différente manière d’exprimer le temps.  Par exemple, pourquoi est-ce que l’anglais nécessite un verbe auxiliaire dans une phrase telle que « It will rain tomorrow » ? On pourrait penser que le mot tomorrow suffirait pour marquer qu’il s’agit de l'avenir.

En effet, nos langes sont truffés de superfluités. Une hypothèse est qu’ils servent à assurer que les messages sont compris correctement. Le correspondant dans le mode bancaire serrait le nombre clé d’un compte qui sert à vérifier que les chiffres précédents sont corrects. De plus nos langues comprennent aussi des ornements qui n’ont pas d’autre fonction que de faire beau, mais c’est une autre histoire.  

L’hypothèse de Keith Chen est que des gens qui parlent des langues où la différence entre la future et le présent est peu marqué, soit inexistante, aperçoivent la future comme plus proche. Par conséquence ils font plus d’effort pour préparer l’avenir, par exemple en épargnant plus. Voici son présentation sur TED.


Les langues qui ont une faible différence entre la future et le présent en Europe sont selon Chen plutôt d’origine germaniques, le finnois semble être une exception et l’anglais n’est pas inclut. Pourquoi le français n’en fait pas partie m’est une énigme, car les règles grammaticales sont dans ce cas très similaires du suédois.

Keith Chen a certainement des idées intéressantes. Mais, comme toujours il ne faut pas confondre une corrélation avec une causalité. Dans l’Allemagne pré-guerre l’exemple phare est qu’il y avait une forte corrélation entre la criminalité et la consomption de yaourt.