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samedi 31 mai 2014

Correct ?



Politiquement correct, ou PC, est un terme péjoratif pour décrire une opinion qui flottent sur une marée de débat public, ainsi ne remettant pas en cause les sentiments dominants.

Politiquement incorrect, ou PI, est une épithète pour ceux qui font le contraire et challengent des positions politiques populaires.

Emphatiquement correct, ou EC, signifie en français d’éviter des mots qui peuvent offenser ou dénigrer une personne ou un groupe. C’est ainsi que les femmes du ménage devient techniciens de surfaces. L’expression n’est pas très fréquente, en effet je n’ai trouvé que 3 références sur Google. 

Pourtant, l’expression correspondant d’EC, en anglais « empathetic correctness » est en train de gagner terrain dans la vie politique américain.

Le sens dans ce cas est qu’il serait EC de éviter d’exposer les élevés aux choses qu’ils peuvent apercevoir comme désagréables tels que violences, préjudice ou suicides. En bref, censurer les sujets d’apprentissages.

En 1925 un professeur du nom John Thomas Scopes a été condamné à une amande de 100$ pour avoir enseigné la théorie de l’évolution. Les conséquences ont été considérables. Pendant des décennies il n’y a eu rien sur l’évolution dans des livres scolaires américains. Des générations sont grandies sans en ne rien savoir.

Lorsque l’évolution est réapparue comme sujet enseigné, les opposants ont lancé une hypothèse concurrente, le dessein intelligent. Suivant plusieurs semaines de polémiques dans un tribunal en 2005 il a été décidé que le dessin intelligent n’est qu’une autre dénomination du créationnisme religieuse qui n’a rien à faire dans l’enseignement de biologie. 

Cependant les fondamentalistes ne cessent pas de combattre un fait scientifique, maintenait par la voie linguistique, emphatiquement correct.

vendredi 30 mai 2014

Poste pneumatique



La première ligne de poste pneumatique a ouvert à Londres en 1853. Puis la technique s’étendue aux villes telles que Paris, Vienne et New York.  

Elles ne sont plus utilisé mais le plus longe était celle de Paris avec 467 kilomètres de tubes. Ce système a fonctionné pendant plus de 100 ans, jusqu'en 1984. Dans le film François Truffaut, Baisers volés de 1968, il y a une scène qui suive une lettre pneumatique.


Le plus durable installation a été en Prague où un système a été utilisé jusqu'en 2002 quand une inondation a mis fin à ces jours.

La technologie de la poste pneumatique est donc assez vieux et on pourrait pensait qu’elle serait complètement passé dans l’âge d’internet. Mais, maintenant elle reprend. Des systèmes modernes sont principalement utilisés par les entreprises, par exemple ceux qui ont besoin d’envoyer des échantillons pour analyse dans un laboratoire. Un fabriquant de pâtes l’utilise échantillons de farine.  

Un autre exemple est le commerce, qui a besoin d’avoir un minimum d’argent dans leurs caisses pour réduire le risque de vol. Le poste pneumatique est même utilisé dans un ministère et dans ce cas pour avoir des documents importants signé.

Dans ces cas il s’agit de solutions assez simples, une communication point-à-point ou un système avec peu de stations.  

Les systèmes les plus complexes sont dans les hôpitaux. Les plus récentes installations ont une solution logistique très avancées dont les cartouches envoyés sont munis d'un transpondeur. Le réseau suive les cartouches individuellement et est à chaque instant conscient de leurs positions. Donné qu’il existe un dépôt dans chaque carrefour de lignes, il est aussi possible de temporairement mettre des cartouches à côté pour donner place à un envoi prioritaire.  

Dans l’hôpital de Danderyd, une banlieue de Stockholm, ils ont installé un système de 5 km. Il sert à envoyer des échantillons de sang aux laboratoires d’analyse, du sang aux salles d'opérations et médicaments.

Avant il fallait beaucoup employés pour cheminer ces transports qui suivant impliquait des longues distances et congestionnait les ascenseurs. Le nouveau système libère environ 50 employés aux autres taches.

Un autre avantage est que les patients reçoivent les résultats de test plus rapidement. En plus, les personnels n’ont plus besoin de quitter leurs postes pendant la nuit lorsque la présence est limitée.

Les cartouches peuvent avoir des priorités différentes. Du sang à un patient sous opération est par exemple expédié plus vite qu’un test de laboratoire. Pour des produits sensibles, la vitesse peut être réduite.

Un serveur surveille le trafic dans chaque carrefour. La position et la destination de chaque cartouche est montré sur un écran. S’il y a un bouchon le chemin est marqué en rouge. Dans ce cas une voie alternative est proposée. Les cartouches vides sont automatiquement envoyées aux stations qui ont besoin de remplissage.


Le réseau comprend autour de 100 terminales les employés s’identifient avec leurs badges électroniques. Uniquement ceux qui ont les autorisations appropriées peuvent l’accéder. Pour certains produits, comme par exemple des produits pharmaceutiques ou de sang, il faut une autorisation spécifique.

De tous les cartouches en circulation un peu près 85% finissent dans le laboratoire de chimie clinique. Sur place les personnels ont l'aide d'un robot qui ouvre les cartouches et les trie en deux voies de transport, une pour testes prioritaires et une pour les autres.

Un carrefour consiste typiquement d’une dizaine de tubes qui arrivent du plafond. Quand un cartouche tombe, un bras de robot, qui grâce à le transpondeur connais la destination, le déplace dans le bon tube de sortie.

jeudi 29 mai 2014

Radar


L'histoire du radar commence en fait en Novembre 1932 avec un discours dramatique par un parlementaire du nom de Stanley Baldwin dans la Chambre des communes britannique. « Il n'y a pas de moyen de se protéger contre les attaques du ciel » déclare-t-il. « Les bombardiers peuvent toujours passer notre défense ».

C’était la conclusion décevante d’un comité d’étude qui avait constaté que la défense de l'air britannique était plus ou moins inutile contre des grandes armadas de bombardier. Si ne rien de radicalement serait fait, la Grande-Bretagne perdrait la prochaine guerre.

Le cabinet de guerre britannique avait dix ans auparavant offert une récompense de 1000 livres à la personne qui pouvait construire un pistolet à rayons capable de tuer un mouton à 100 mètres de distance. Personne n’avait malheureusement pas réclamé ce prix. Il était dans cette situation le pouvoir s’approchait la première autorité du pays d’ondes radio, l'ingénieur Robert Watson-Watt. Si quelqu'un pourrait développer un rayon habile à détruire les avions ennemis, c'était lui.

Robert Watson-Watt et son assistant Arnold Wilkins déclaraient que la chose était impossible mais qu’il avait peut-être une méthode à détecter des avions approchantes à grand distance. Dans ce cas il serait possible d'envoyer des  avions pour combattre l’ennemi.

En fait, a dit Watson-Watt, nous avons remarqué des interférences de réception lorsque un avion franchi les antennes d’émetteurs et l’effet doit être un genre de réflexion. Peut-être que ce phénomène pourrait servir la défense.

Il a donc été demandé à Watson-Watt et Wilkins d’en urgence étudier cette possibilité.


Watson-Watt et Wilkins ont fait leur première expérience le 26 Février 1935 dans un domaine près de Daventry, sud-est de Birmingham. Un bombardier de type Handley Page Heyford a survolé un mât qui a envoyé des impulsions d’ondes courtes. Avec un récepteur placé dans une ambulance converti, Watson-Watt et Wilkins ont intercepté des échos de l’avion sur un oscilloscope. De plus, ils pouvaient calculer combien de temps il a fallu pour les rayons à rebondir et ainsi déterminer la distance de l'avion.

C’était le début d'un développement ultrasecret de ce que les Américains plus tard, nommeront Radar, Radio Detection And Ranging.

Les premières expériences sont apparus comme un tel succès que le Royal Airforce a décidé de immédiatement construire encore 5 stations le long de la côte est et sud pour protéger la région de Londres, un système appelé Chain Home.



Les stations avaient des mesures importantes et ils consommaient d'énormes quantités d'énergie. Les mats pour émettre les rayons et les récepteurs, construits comme tours en bois, mesuraient 100 mètres. La portée était de 60 à 70 kilomètres et l’arrangement pouvait aussi déterminer l'altitude d'un avion en 200 mètres près.

Techniquement le système anglais n'était vraiment pas plus remarquable que ceux dont ils expérimentaient dans d'autres pays. L’important différance par apport les essais des allemands, français, russes et américaines était que les anglais reliaient leurs stations à un dispositif qui couvrait toute la côte.

L'une des stations dans la Chain Home était construite sur le domaine Bawdsey Manor juste au nord d'Ipswich sur la côte est. Il est devenu un centre secret pour le développement de radar. C'est là, en 1937, qu’a été conçu un radar si petit qu’un avion pouvait le porter. Le secret de ce réussite était des d'ondes plus courtes.

A l’éclatement de la guerre ils avaient aussi produit des magnétrons, générateurs de micro-ondes, et un équipement pour chasse de nuit.

Lorsque les armadas de bombardiers allemands attaquaient Londres pendant le Blitz en 1940 c’était les avertissements du système Chain Home, qui a sauvé la ville. Les anglais ont eu le temps d'envoyer des chasseurs qui causaient des grandes pertes allemandes. Il a coûté trop cher en vie et avions et les allemands ont abandonné leur tactique en Novembre 1940.

Il est aussi grâce au radar que les sous-marins allemands dans l'Atlantique finalement ont pu été. Les sous-marins sur la surface pourraient être détectés de loin par les avions des alliées.

Il a fallu attendre longtemps après la guerre avant que les britanniques ont découvert ce qui s'est réellement passé à Bawdsey. Les habitants savaient que c’était quelque chose ultrasecret mais ne pas quoi. Selon une rumeur la défense serait en train de développé des mystérieux rayons capable d'arrêter des moteurs de voitures en s’infiltrant dans le système d'allumage. Elle convenait bien aux autorités, car elle a tenu les gens loin de Bawdsey.

mercredi 28 mai 2014

La racine linguistique révèle l'origine du chili

Le poivre du Chili, aussi appelé piment, a été cultivé pour la première fois dans le Mexique centrale il y a environ 6500 années. C’est la conclusion des chercheurs qui par le voie d’une langue reconstruite ont localisée l’origine.

Au Moyen Âge, les épices comme le poivre étaient rares car ils venaient de l’Inde. Elles avaient une telle valeur que les plus rares, comme le poivre, étaient  utilisées comme monnaie d'échange. De cette période vient les expressions tels que « cher comme poivre », ou « payer en espèces (épices) ». La richesse d'un noble pouvait aussi être évaluée selon la quantité de poivre qu'il possédait. C'est ainsi que par la suite, les riches Allemands ont été surnommés « sacs de poivre ».

Le chili est diffèrent parce que l’origine est Amérique du sud et parce qu’il est facile à cultiver en Europe. Pendant une époque il a été nommé « le poivre des pauvres ». Le mot chili est emprunté à la langue uto-aztèque nahuatl, qui aussi est l'origine des mots chocolat, tomate et avocat.

L’origine du chili cultivées a été tracée à moins 4500 années avant JC. À cette époque il y avait un mot pour chili qui partiellement maintenant a été reconstruit de oto-manguean, ki. Cette racine apparaisse dans plusieurs langues encore parlés de la même famille.

Il dura jusqu'à quelque 800 ans avant JC pour le chili d’apparaitre dans une autre famille de langue. Il s'agit de langues misumalpane qui sont encore parlé en Nicaragua et Honduras.

Dans la langue aztèque, le nahuatl, le chili a une histoire plus jeune, seulement 1 500 ans.

Les premières cultures de haricots et maïs ont été localisée à l'ouest du Mexique. Depuis longtemps il a été assumé que le chili aurait la même origine. Au lieu, en étudiant les racines linguistiques des spécialistes ont maintenant constaté que la culture au début probablement était localisée dans un triangle entre Puebla, au sud, Oaxaca au nord et Veracruz au sud-ouest.