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mardi 27 septembre 2016

Des fonctions humaines en format poche



Une petite boîte, un peu plus grand qu’un téléphone mobile, peut contenir des modèles d'organes humains vivantes à l'échelle 1: 100 000. Cette technologie qui est en train de se développer rapidement est un simulateur biologique d’organes humains appelé organ-on-a-chip. Les organes et les tissus à l’intérieure sont reliés par des mince tuyaux et un système de pompage qui imite la circulation de fluides dans le corps humain.
  
Un spin-off de l'université de Berlin, l’entreprise TissUse, est une des plus avancé dans le domaine. Dans leur boite il est actuellement possible de combiner quatre organes reliés par deux circuits de fluides corporels. Dans une position centrale il y a actuellement un rein.

Les espoirs sont importants car ces genres de dispositifs peuvent mener à moins de l'expérimentation animale, des nouveaux et moins coûteux médicaments et des soins médicaux individuellement conçu.

Les organes sont cultivés par des échantillons de cellules d’une patiente, des cellules iPS, (cellules pluripotentes induites), dont les cellules ordinaires sont transformées à des cellules souches qui peuvent être utilisées pour produire des organes.

Une application possible serait d’utiliser des cellules d’un patient, les cultiver et puis expérimenter la dose de médicament optimal.

Les sociétés pharmaceutiques et cosmétiques suivent de près le développement dans l'espoir de trouver des nouvelles possibilités de plus simplement tester médicaments et additifs. Un arrangement souvent nécessaire pour ce but est un foie combiné avec un ou plusieurs autres organes. Avec des tissus d’un foie et de la peau il sera par exemple possible à tester une nouvelle pommade, un shampooing ou une crème. Si fournie avec un tissu intestinal il serait de la même manière possible d’évaluer l’absorption d’un médicament pris oralement.

Le médicament administré est transporté entre les organes par la  circulation artificielle. Ceci rend possible d’observer si des substances toxiques sont formées dans le foie.

Le nombre de tests actuellement faites sur les animaux et seulement en Suède près de 800 000 par an. Le problème est qu’ils seulement à une certaine limite produisent des résultats utiles. Cette nouvelle technologie peut potentiellement réduire le temps et le coût de développement de nouveaux médicaments.

En effet, 9 sur 10 tests sur animaux n’ont pas les mêmes effets quand cliniquement testée sur des humains. La raison est simple, le métabolisme des animaux n’est pas la même que chez les humains.

TissUse vise à créer un simulateur masculin et féminin avec 10 organes qu’elles soient prés a lancé autour de 2018. C’est la complexité qu’il faut achevoir pour remplacer environ 70% des tests sur animaux.

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