Pages

dimanche 15 janvier 2017

Voitures autonomes, ne pas si évident



Ces jours on en parle beaucoup de voitures autonomes. Parce que les premiers prototypes déjà roulent sur les routes nous avons l’impression que cette idée, «  ce rêve » est en train de se réaliser dans un proche avenir. Qui ne veut pas avoir une voiture qui n’a pas besoin d’être guidé et qui sait se stationner tout seul, des habilités qu’on autrefois pensait soient impossibles ?

Pourtant, dès que le développement progresse beaucoup de problèmes qui doivent être franchi commencent à apparaitre.

Un est que l’autoguidage seulement est fiable quand les conditions sont bonnes. En cas de brouillards, neiges et caméras éblouis par le soleil, le bon fonctionnement n’est pas garanti.

Il y a aussi un problème avec les composantes électroniques. Actuellement elles sont du même type que dans les appareilles électroniques ménagers, qui ont un duré de vie de quelques années. Par contre, une voiture est conçue pour rouler pendant environ 15 ans. De plus, les conditions environnementales pour les composants électronique sont loin d’idéales. Car ils doivent supporter des températures extrêmes, des vibrations et de l’humidité.   

Un important souci additionnel est la législation. Le droit pénal actuel est basé sur l'idée qu’une personne accusé est capable à penser par soi-même, à comprendre les conséquences de ses actes et à distinguer des actions morales de les non morales. En bref, la situation législative n’est pas facilement applicable aux véhicules hautement automatisés. Cependant, il y a une volonté politique de dans un proche avenir rendre possible pour ces véhicules à circuler sur les routes.

Les actions que le législateur pourrait utiliser pour s’adapter du développement est d'introduire des exigences sur les logiciels, les composantes et l’obligation d’équiper les voitures autonomes avec le correspondant des boîtes noires des avions.

Il n’est donc pas impossible que nous nous approchons vers les exigences utilisés pour des satellites, qui sont super-restreintes.

Il soit éventuellement possible d’argumenter que les voitures autonomes radicalement diminuent des accidents et que le taux d’incidents causés par défaillances dans les systèmes automatiques est un prix à payer. Mais, comment faire la différence entre des pures négligences et des œuvres de la fatalité ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.